LES 16 JOURS D’ACTIVISME CONTRE LES VBG (Violences basées sur le genre)

C‘est un événement international annuel qui débute le 25 novembre de chaque année et se poursuit jusqu’au 10 décembre qui est la date de la journée des droits humains.

A cette occasion le monde entier passe à l’orange, cette couleur symbolise un avenir meilleur sans violence c’est aussi un moyen de manifester notre solidarité pour l’élimination de toutes les formes de violence. Notons que les violences faites aux femmes et aux filles existent depuis bien longtemps et se manifestent sous plusieurs formes.

• Violences au sein du couple et de la famille: ces formes de violences se caractérisent peuvent être physiques (bousculade, gifles...) ou verbales, ces actes ont des retombés négatifs sur la femme.

• Mariages forcés : ils se pratiquent sur les filles, les plus jeunes  sont données en mariage à des hommes plus âgés qu’elles. Ces hommes donnent  de l’argent à la famille en échange de leur  fille, ne voulant pas certaines vont jusqu’à se donner la mort ou tuer le conjoint.

• Mutilations génitales : Elles sont exercées sur les petites filles par des femmes plus âgées ( personnes du 3ème âge) dans certaines traditions Africaines lorsque la petite fille atteint un âge elle doit forcément se faire couper le clitoris pour espérer avoir un mari, cela lui permettra aussi de ne pas tromper son mari, et cette pratique n’est pas sans danger elle s’ensuit de mort, pour celles qui ont la chance d’échapper à la mort elles rencontrent des difficultés à l’accouchement ou des infections graves.

• Violences au travail : intimidations, chantages on pourrait dire que 80% des femmes la subissent dans leur services, un directeur aurait besoin d’avoir des rapports sexuels avec une fille avant de lui accorder un poste qu’elle mérite et si elle refuse elle est immédiatement renvoyée, certaines sont obligées de l’accepter parce qu’elles ont besoin de ce poste.

• Proxénétisme : c’est tout simplement le fait d’utiliser des filles pour de la prostitution via internet, le réseau est assez simple pour les personnes qui détiennent des cartels de ce genre. Il leur suffit d’avoir des jeunes filles belles, de prendre leur photo qu’ils publient sur des sites. La victime ne touche qu’une minuscule partie du gain, la plus grande partie appartient au chef. C’est de l’exploitation et c’est un fléau à éradiquer.

• Viol : Le viol, c’est le fait de forcer une personne à avoir des rapports sexuels qu’il soit anal, buccal ou vaginal. Cette forme de violence est exercée sur les femmes (les mineures, les adultes, parfois même des bébés).

Voici ainsi énumérer quelques violences faites aux femmes. En Côte d’Ivoire plusieurs instituts, ONG et des personnalités se battent jour et nuit pour qu’aucune femme ne subisse de violence.